Journalisme

PRÉSENTATION DU DÉPARTEMENT

Relater ce qu’il s’est passé lors de la dernière conférence ou workshop de la SDSA, transmettre les émotions vécues lors des visites culturelles organisées par l’association, interviewer des figures de la Genève Internationale ou de la diplomatie mondiale, ou bien analyser les derniers développements de l’actualité géopolitique internationale, le tout par le biais d’articles écrits et avec un point de vue politiquement neutre. Voici le rôle du département journalisme de la Swiss Diplomacy Students Association. Par ailleurs, ce département collabore activement avec le/la webmaster et le/la community manager afin de rendre ses articles disponibles sur le site internet et les réseaux sociaux.

Envoyez un mail au Département journalisme

 

UN MOT DU CHEF DU DÉPARTEMENT

Aloïs Alric :

« Actuellement en 2ème année du Master Russie-Europe Médiane au Global Studies Institute, j’ai rejoint la SDSA au semestre de printemps 2022. J’ai tout d’abord oeuvré au sein du département Culture & Institutions, en participant à l’organisation de conférences sur différents thèmes ainsi qu’en organisant des visites culturelles visant à faire découvrir le patrimoine Suisse à nos membres internationaux. Passionné par les domaines de l’information et des Relations Internationales, j’ai eu par la suite l’opportunité de devenir responsable du département Journalisme. En encourageant l’investissement associatif et l’esprit d’initiative, je souhaite que les membres puissent exercer leur capacités rédactionnelles et acquérir de nouvelles compétences afin de produire des articles de qualité pour notre association. »

 

 

MEMBRES ACTIFS-IVES

Valérian Cérino :

« Géographe de formation, j’ai choisi de rédiger un mémoire consacré au conflit russo-ukrainien, avant de valider un Master de spécialisation Russie Europe Médiane au Global Studies Institute. La Swiss Diplomacy Student Association m’aide à comprendre les rouages de la Genève Internationale. J’apporte à ce projet mes analyses à travers la rédaction d’articles faisant la synthèse d’une actualité ou d’un enjeu international. »

 

 

 

David Alaverdyan :

« Faire partie de la SDSA est pour moi une opportunité exceptionelle. Premièrement car de par mes études au Global Studies Institute, écrire des articles sur mes aires géographiques de spécialisation est une aide formidable. Enfin, c’est aussi pour l’occasion de participer à un projet commun autour de mes passions que sont la diplomatie et les relations internationales. »

 

 

 

Roland de Pury :

« Genève est un espace de coopération internationale et j’y ai grandi avec l’intention de faire partie de son décor cosmopolite. En entrant dans la SDSA, je voulais me rapprocher d’une sphère liée à la diplomatie et la coopération, des domaines auxquels je voudrais consacrer la majorité de ma vie professionnelle. Intéressé par l’histoire et la géopolitique internationale, il m’a semblé pertinent de faire partie du Département journalisme et d’y proposer la rédaction d’articles d’actualité. Faire partie de cette association est l’occasion de rencontrer et de travailler avec des étudiants sur des projets étroitement liés au monde professionnel. La SDSA participe ainsi à populariser un domaine qui peut être parfois perçu comme élitiste et inaccessible. »

 

 

Yannis Bonnet :

« En intégrant la SDSA, j’ai souhaité m’investir dans des activités qui ont du sens, qui m’apportent sur le plan professionnel mais également social, à hauteur de ce dont je pourrai moi-même y apporter. Juriste curieux, amoureux transi des beaux mots, et étudiant passionné du MAREM, intégrer le département journalisme se révéla être comme une évidence. Ecrire sur le monde des relations internationales et me permettre de partager mon savoir et mes analyses représente une immense opportunité qui aura, j’en suis sûr, d’excellentes répercussions sur mon avenir professionnel. Qui plus est, pouvoir partager et apprendre d’autres membres tout autant passionnés rend cette fonction agréable et stimulante, mettant la dévotion et l’implication sur un piédestal dans ma vision de la SDSA. »

 

 

Marie Durussel :

« Actuellement étudiante en relations internationales à Genève, je suis passionnée par l’étude des langues étrangères et la diplomatie. Multiculturelle par essence, j’ai rejoint la SDSA car c’est une grande famille qui permet à ses membres de travailler en équipe sur des projets très variés. Le département de journalisme apporte à ses membres de nombreuses compétences dont l’ouverture d’esprit, la capacité d’écoute et l’esprit d’initiative. »

 

 

 

Tamrat Haile :

« J’ai rejoint le département de journalisme de la SDSA en septembre 2021. En tant qu’étudiant en études africaines, je suis très intéressé par la politique et la diplomatie de l’Afrique. Je pense que faire partie du département journalisme de la SDSA me permettra de partager mes points de vue sur la politique et la diplomatie africaines avec mes collègues membres de la SDSA ainsi qu’avec le grand public. J’ai hâte de travailler avec l’équipe de journalisme de la SDSA pour produire des articles qui non seulement fourniront des informations mais aussi encourageront le lecteur à regarder la diplomatie en général et la diplomatie africaine en particulier sous une nouvelle perspective. »

 

 

Aline Leutwiler :

« Une forte croyance à la nécessité et l’effectivité de la diplomatie m’a poussée vers un Bachelor en relations internationales à Genève et également la SDSA. Je ne veux pas seulement suivre l’actualité, mais activement contribuer à la rédaction dans le Département Journalisme. J’ai déjà travaillé pour les départements d’économie et de la politique pour le journal Blick. Actuellement, je travaille comme journaliste libre pour Aerotelegraph et quelques petites publications. »

 

 

 

Matteo Esclapes :

« La SDSA et son département journalisme sont des milieux où l’on ressent une réelle ébullition intellectuelle. Être membre offre une constante stimulation, et notamment grâce à sa communauté aussi enrichissante qu’éclectique. En ce qui concerne précisément le département journalisme, ses projets ambitieux et ses partenariats de grandes qualités sont de précieux apports à mon curriculum. L’exigence de professionnalisme nourrit en moi une vraie dynamique vertueuse. J’ajouterai que les enjeux du journalisme sont grands, et si ‘mal nommer les choses, c’est rajouter du malheur au monde ‘, il est alors de notre responsabilité d’exercer cette fonction avec éthique et engagement. »